Université, composantes et services
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« Nous entrons en pleine phase opérationnelle du Plan campus »

Hausse de la dotation de l’État et des crédits alloués à l’immobilier, reconduite de la campagne d’emplois 2017… Le vice-président Finances, Jean-Yves Pabst, revient sur les principales caractéristiques et grandes orientations données au budget 2018, adopté à l’unanimité moins une voix lors du conseil d’administration du 19 décembre.

Quels sont les principaux enseignements du budget 2018 ?
L’université affiche un résultat prévisionnel 2018 positif de 3 millions d’euros (M€). Tant les montants de dépenses pouvant être engagées (531 M€) que les crédits pouvant être décaissés (534 M€) concernant des engagements de l’année passée restant à honorer, sont en hausse par rapport à 2017 (voir graphique ci-dessous). Si l’on ajoute à cela notre capacité d’autofinancement de 10 M€ et notre fond de roulement en augmentation prévisionnelle de 35 M€, tous les indicateurs sont au vert.

C’est une situation nouvelle ?
Nous sommes parvenus à redresser la barre, après une pente glissante en 2012-2013. Depuis 2014, nous affichons des résultats annuels excédentaires. Cela fait donc déjà plusieurs années que nous sommes sortis de la zone rouge !

La Gestion budgétaire et comptable publique (GBCP) va contribuer à renforcer ce mouvement ?
Indéniablement, car ce nouveau système, mis en œuvre depuis le 1er janvier 2017, accentue la prise en compte d’engagements pluriannuels dans la construction du budget. Les services et personnels financiers, moi y compris, ont été cette année en phase d’apprentissage. Et ce n’est pas fini, avec l’accroissement prévu de l’automatisation des procédures.

Que cela signifie-t-il en matière de ressources humaines ?
Les dépenses de personnels augmentent de 1 %, en raison principalement de la prise en compte de leur évolution de carrière. Nous allons maintenir de manière équivalente à 2017 le recrutement des enseignants-chercheurs et de personnels administratifs et techniques.

La bonne nouvelle, c’est aussi la hausse des dotations de l’État…
Effectivement, par un effet d’entraînement positif, l’État augmente sa dotation de 2 M€, qui s’ajoutent aux crédits Idex et de l’Opération campus (eux aussi en hausse). C’est un gage de confiance, très important, de notre principal financeur.

Il n’y a donc aucune ombre au tableau ?
Je ne le nie pas, nous sommes dans une situation saine. Nous devons toutefois rester vigilants : la masse salariale doit continuer à être maîtrisée, pour ne pas dépasser 70 % du budget total de l’établissement et ainsi conserver une marge pour l’investissement. La taxe d’apprentissage va être réformée en 2018, pas nécessairement à notre avantage. Le budget 2019 pourrait donc être plus contraint, d’autant que les mesures du Plan étudiants ne sont pour le moment pas suivies d’accompagnement annoncé sur le plan financier.

Vous affichez clairement comme prioritaire l’objectif de rénovation et de construction immobilières…
Le Plan campus rentre cette année dans sa pleine phase opérationnelle : jamais autant de crédits n’y ont été alloués (66 M€ d’autorisation d’engagement en 2018). C’est une stratégie : concentrer les dépenses dans le temps, pour achever les opérations rapidement et limiter l’explosion des coûts. À noter que la majorité des crédits mobilisés est fléchée (Plan campus, Contrat de plan État-Région, Programme pluriannuel d’investissement*).
Ce choix, notre équipe l’assume : celui de favoriser la rénovation d’un cadre de vie, de travail et d’études pour les générations futures. De le sécuriser. Et de le moderniser, pour stabiliser nos dépenses énergétiques. C’est une tâche immense, car même avec les moyens très importants mis en œuvre, nous ne rénoverons qu’un tiers du patrimoine universitaire.
Alors certes, nous limitons les recrutements, mais faut-il rappeler que notre niveau d’embauche est l’un des plus élevés parmi les universités françaises, et que tous nos départs à la retraite sont remplacés ? Ma mission étant avant tout celle de limiter les risques de l’université, je considère comme prioritaires le paiement des salaires et le fonctionnement de l’outil de travail. Au vu du fonds de roulement dont nous disposons, correspondant à près de trois mois de trésorerie, nous sommes confiants pour réaliser notre mission de service public.

Propos recueillis par Elsa Collobert

Calendrier de l’exercice budgétaire

Chaque année, celui-ci débute par la lettre d’orientation budgétaire (juin), se poursuit par les dialogues de gestion (de juin à septembre) puis vient ensuite le budget de niveaux 1 et 2 (septembre/octobre) et enfin la présentation du budget initial, en décembre. Ce dernier est toujours une prévision des dépenses et des recettes pour l’année à suivre, exercice toujours difficile car un certain nombre d’inconnues existe, comme par exemple le niveau de dotation de l’État ou le niveau des autres ressources.

* Le Programme pluriannuel d’investissement encadre l’utilisation de l’excédent financier, permettant d’investir sur les fonds propres.

Comptabilité budgétaire prévisionnelle inscrite au budget 2018

Les prévisions en autorisations d'engagement (AE) et crédits de paiement (CP) inscrits au budget 2018

Autorisations d'engagement (AE) : constituent la limite supérieure des dépenses pouvant être engagées pendant l'exercice.
Crédits de paiement (CP) : constituent la limite supérieure des dépenses pouvant être payées pendant l'année pour la couverture des engagements contractés.

 

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Au pôle Entretien, on n’essuie pas les plâtres !

Isabelle Lavenn dans un couloir de l'Institut Le Bel, dont elle a la charge des trois premiers étages, ainsi que de l’ensemble du Nouveau Patio.

« Il est tout à fait naturel que les personnels et les étudiants soient accueillis dans de bonnes conditions. C’est un minimum. » C’est avec cette philosophie qu’Isabelle Lavenn, agent d’entretien au sein de la Direction des affaires logistiques intérieures (Dali) aborde son métier avec entrain.

Isabelle Lavenn fait partie du pôle Entretien de la Dali avec neuf autres agents. Avec l’appui d’une société privée de nettoyage, cette équipe est en charge d’une dizaine de bâtiments sur les campus centraux. Les autres bâtiments du campus Centre (Esplanade et historique) étant gérés par les composantes elles-mêmes. D’abord employée dans une société privée, Isabelle Lavenn a travaillé dix ans au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Strasbourg. Elle est affectée dans les locaux de l’université en 2012 via la même société privée et c’est en 2013 qu’on lui propose d’intégrer le pôle Entretien de la Dali. « L’une de nos missions est de gérer l’interface entre la société privée et nos actions. L’expérience que j’ai acquise dans mon parcours professionnel me permet de mieux  appréhender les problématiques et d’assurer cet interface avec un double regard », explique-t-elle.

Faire de la sensibilisation

Elle a aujourd’hui la charge des trois premiers étages de l’Institut Le Bel et de l’ensemble du bâtiment du Nouveau Patio. Une surface impressionnante, dont la gestion au quotidien demande une logique bien huilée. Entre les amphithéâtres et leurs sempiternels graffitis, les salles de réunion ou de travaux pratiques et leurs fonctions variées et les bureaux des personnels et leur organisation parfois singulière, il est nécessaire de s’adapter à chaque situation. Lorsqu’un bureau est trop encombré, c’est avec l’intéressé que la discussion s’engage. « Nous convenons ensemble du moment propice à notre intervention et c’est souvent à ce moment là que la personne en profite pour ranger son bureau », raconte Isabelle Lavenn en souriant. « J’apprécie particulièrement la diversité de mes activités et les rencontres que je peux faire au jour le jour. Même si les incivilités sont assez rares, il nous arrive fréquemment de faire de la sensibilisation auprès des publics utilisateurs, et cela se passe très bien. Il suffit de mettre un peu de diplomatie dans nos échanges. »

Une équipe soudée

En plus de leurs activités quotidiennes, les agents sont souvent sollicités pour des demandes ponctuelles, que ce soit pour recharger les distributeurs de matériel sanitaire ou intervenir sur des dégradations. « Nous sommes souvent remerciés par retour de mail ou directement. C’est satisfaisant de savoir que notre efficacité et notre rapidité est reconnue. » Ce qu’elle apprécie également, c’est la disponibilité de l’équipe dans son ensemble. « Malgré les emplois du temps chargés, ma responsable, Sylvie Geissler, est toujours à l’écoute si nous avons des informations à faire remonter. Nous sommes une équipe soudée. Quand l’un de nous est absent, nous nous organisons pour assurer les tâches prévues et lorsqu’une grande intervention est programmée, nous nous soutenons les uns les autres. Je bénéficie aujourd’hui d’une autonomie et d’une relation de confiance avec ma hiérarchie. Si je devais évoluer dans mon poste, ce serait toujours dans la logistique », conclut-elle.

 Frédéric Zinck

Lire les précédents épisodes de la série consacrée aux métiers de la Dali :

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Une seconde épicerie sociale et solidaire ouverte à la Gallia

Rémi et Estelle sont bénévoles à la nouvelle Agoraé (épicerie sociale et solidaire) ouverte à la rentrée de janvier à la Gallia.

Tout comme sa grande sœur de l’Esplanade, l’Agoraé du campus historique apporte un coup de pouce aux étudiants, leur proposant des produits alimentaires et d’hygiène à un prix défiant toute concurrence. Inaugurée mercredi 20 décembre, l’Agoraé de la Gallia a ouvert ses portes à la rentrée de janvier.

« En ouvrant cette deuxième épicerie sociale et solidaire, nous souhaitons toucher les étudiants du campus historique, ceux du Palais universitaire et de la Faculté de physique, principalement », explique Arthur Baret, vice-président de l’Association fédérative générale des étudiants de Strasbourg (Afges) en charge de la solidarité. D’une capacité maximale de 90 bénéficiaires, elle viendra renforcer la capacité d’accueil de l’Agoraé Esplanade, située à la Faculté de droit. Celle-ci, inaugurée en 2013, « a rapidement atteint son plafond de 130 bénéficiaires, relevé à 160 ». Une équipe de onze bénévoles de l’Afges est répartie entre les deux sites.
Pour pouvoir remplir son panier à l’Agoraé – de denrées alimentaires, conserves, produits secs, aliments frais et produits d’hygiène, entre 5 et 15 € par semaine − c’est le reste à vivre de l’étudiant qui est pris en compte. Une fois constitués, les dossiers sont examinés « en commission de l’Afges, nos membres étant tous soumis à la confidentialité ». L’épicerie sociale et solidaire constitue donc davantage un complément qu’une solution d’urgence. Lors de sa permanence hebdomadaire, une assistante sociale du conseil départemental étudie les situations les plus préoccupantes, « dont le reste à vivre est inférieur à 4 € par jour », précise Arthur Baret
Comme c’est le cas à l’Esplanade, les bénéficiaires sont encouragés à s’impliquer dans la vie de leur épicerie sociale et solidaire. « Car l’Agoraé ne propose pas seulement des produits entre 10 et 20 % du prix du marché, mais cherche à créer du lien, précise l'étudiant. Car la précarité financière peut favoriser l’isolement : je n’ai pas d’argent, donc je ne vais pas boire un verre ». Pour y remédier, des activités comme des ateliers « do it yourself » ou cuisine seront proposés.

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La nouvelle gamme éditoriale appliquée à l'offre de formation

Les livrets offre de formation se distinguent par une couverture à rabat avec une couleur spécifique par grand domaine de formation.

Après le rapport d'activité, voici les livrets présentant l'offre de formation de l'Université de Strasbourg, déclinés dans la gamme éditoriale du langage visuel.

Ces documents, au format A5, se distinguent par une couverture à rabat avec une couleur spécifique par grand domaine de formation. La présentation des intitulés de diplôme est facilitée par un tableau aéré et lisible d'un coup d'œil. Enfin, des témoignages d’étudiants sont valorisés dans une double page, à la fin du livret.
L'offre de formations en alternance est également présenté dans un catalogue reprenant les caractéristiques de la nouvelle gamme éditoriale.

Un modèle pour les composantes

Le concept est décliné pour la présentation de l'offre de formation par les composantes. Un gabarit, à disposition de celles qui le désirent, propose des modèles de fiches modulables en fonction des contenus de chacune, tout en permettant une personnalisation par composante.

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La Validation des acquis de l’expérience intègre la formation continue

Anne Laidebeur, Céline Hoffert, Marion Huber et Matthieu Durand.

C’est l’une des nouveautés de cette rentrée 2018 à l’université : le Service de la Validation des acquis de l’expérience (VAE) et ses quatre personnels, sont intégrés au sein du Service de formation continue (SFC), dont il devient une cellule.

« Ce projet était en réflexion depuis deux ans, explique Marc Poncin, directeur du SFC. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle le Service de la VAE s’était installé dans nos locaux, il y a un an et demi. Juridiquement, le dispositif de VAE a beaucoup évolué dernièrement, notamment sous l’impulsion de la loi Travail. Conçu initialement comme une initiative privée des salariés, il devient un levier de développement des compétences pour les services de ressources humaines, au même titre que la formation. Ces parcours mixent d’ailleurs de plus en plus souvent formation et VAE. C’est pourquoi cette réorganisation est cohérente. D’ailleurs, 95 % des services de VAE dans les universités sont déjà au sein de services de formation continue. »
Cette réorganisation devrait permettre de développer une meilleure synergie entre les deux dispositifs. La cellule VAE sera déchargée des questions logistiques et pourra ainsi mieux se concentrer sur l’accompagnement des candidats, son cœur de métier. « Enfin, les besoins de développement de la VAE seront soutenus par les forces marketing et commerciale du SFC », conclut Marc Poncin.
L'équipe se compose d'Anne Laidebeur (responsable de la cellule VAE), Céline Hoffert (chargée d’ingénierie et d’accompagnement, correspondante communication), Marion Huber (chargée d'accompagnement, remplace pour quelques mois Emmanuelle Abraham, chargée d'ingénierie et d’accompagnement) et Matthieu Durand (assistant).

C. L.

Deux autres réorganisations entrent officiellement en vigueur en janvier

- Le numérique, avec la création de la Direction du numérique et du pôle Stratégie et transformation numérique, ainsi que le renforcement de l’Institut de développement et d’innovation pédagogiques (lire à ce sujet l'entretien avec François Gauer dans L'Actu 150)
- La fusion de l’École supérieure du professorat et de l'éducation (Espé) et de la Faculté des sciences de l'éducation (voir L'Actu 144)

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Billetterie du Jardin des sciences : c’est en ligne que ça se passe !

Les places pour le Planétarium sont réservables en ligne.

Disponible depuis quatre ans, la plateforme de billeterie des activités du Jardin des sciences vient d’enregistrer sa 100 000e réservation. La preuve du succès de l’outil, qui accompagnera en 2019 le Planétarium dans sa grande mutation.

Un spectacle au Planétarium ? Une visite commentée d’exposition au Musée zoologique ? Un atelier familial au Musée de sismologie ? Pour réserver votre place, rendez-vous sur la plateforme dédiée du Jardin des sciences (JDS). « Cette plateforme est principalement à destination de deux types de publics : les individuels et les scolaires, les professeurs réservant les activités pour leur classe dans ce deuxième cas. Elle permet d’obtenir sa place pour nos événements accessibles sur réservation [les conférences du JDS sont accessibles sans réservation, lire encadré] », explique Astrid Chevolet. L’offre du JDS étant schématiquement répartie entre accueil des groupes scolaires la semaine, et du grand public pendant les week-ends et les vacances scolaires. La responsable des actions culturelles cite ainsi les spectacles Ciel du soir, Polaris, Tous astronomes et Ciel de Noël, proposés au Planétarium pendant les derniers congés de fin d’année.
« Cette plateforme dédiée aux réservations est adossée à notre site, via lequel on y accède », précise Benjamin Rota. Le régisseur technique du JDS a développé lui-même l’outil de réservation, fin 2013. En fin d’année dernière, celui-ci enregistre sa 100 000e réservation : « Une preuve que notre public s’est approprié l’outil », pour Benjamin Rota, qui a vu le nombre de réservations croître régulièrement en quatre ans. Cette solution, développée en interne, « nous a permis, en l’automatisant, de simplifier la gestion de nos réservations, qui auparavant se faisaient par téléphone ». Une équipe de trois personnes du JDS reste toutefois dédiée à cette gestion, ainsi qu’à l’accueil physique, au Planétarium. « La mise en place de cet outil nous a aussi permis de définir nos besoins, car d’ici deux ans nous allons migrer vers une solution d’une toute autre ampleur », poursuit Benjamin Rota.

Solution intégrée et paiement en ligne

« Celle-ci accompagnera l’ouverture du nouveau Planétarium, prévue en 2019, complète Astrid Chevolet. La future plateforme permettra de charger son billet sur son téléphone et de le scanner à l’entrée, grâce à une solution totalement intégrée. Surtout, il sera possible de payer en ligne, ce qui n’est pas le cas à l’heure actuelle », ajoute Astrid Chevolet, qui précise que les seules activités payantes proposées par le JDS à l’heure actuelle sont les séances du Planétarium.
« Ce sont celles-ci qui attirent le plus de public, mais il nous a paru important sur notre plateforme de montrer la diversité de nos autres activités, à travers un agenda », précise Astrid Chevolet. « Une fonctionnalité qui sera intégrée dans notre futur outil, de même que la possibilité de gérer les plannings de nos médiateurs, en mode administrateur », ajoute Benjamin Rota. Et possibilité, en réflexion : la mutualisation du nouvel outil avec le Jardin botanique et le Musée de zoologie.

E. C.

Francis Rocard, invité exceptionnel en janvier 2018

Les conférences du lundi et du jeudi font partie de l’offre sans réservation du JDS. L’astrophysicien Francis Rocard est l’un des invités de marque du cycle de janvier 2018 dédié à l’astronomie.

Depuis treize ans, la mission Cassini explore le système de Saturne, la planète, ses innombrables anneaux, sa soixantaine de lunes et particulièrement Titan et Encelade. La sonde européenne s’est posée sur Titan le 14 janvier 2005 mais c’est dans les geysers d’Encelade que la plus riche découverte a été faite, révélant que cette lune est active et que la vie pourrait exister dans un océan salé sous-terrain. Le « Grand final » du 15 septembre 2017, lorsque Cassini s’est détruite dans l’atmosphère de Saturne, marquant ainsi la fin de sa mission, a mis en lumière des découvertes inédites.
Francis Rocard , responsable des programmes d’exploration du système solaire au Centre d’études spatiales (Cnes), fera revivre au public cette aventure spatiale hors du commun lors d’une conférence, ouverte à tous et gratuite, jeudi 25 janvier 2018, à 18 h, dans l’amphithéâtre Cavaillès du Patio (campus Esplanade, Strasbourg).

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Négociations polyglottes autour d'un livre en chocolat

Remise des prix du premier concours Euro-Nego organisé à l'IUT Robert-Schuman. Crédit : IUT Robert-Schuman.

Organisé pour la première fois par le département Techniques de commercialisation (TC) de l'IUT Robert-Schuman d'Illkirch, Euro-Nego est un concours de négociation en langues française, allemande et espagnole.

Sur la thématique du livre, le concours a débuté avec une conférence sur « Le livre à lire », en présence d’écrivains et d’éditeurs qui ont pu échanger directement avec les étudiants lors d'ateliers-rencontres. Parmi eux, des écrivains alsatiques, de la littérature enfantine, mais aussi des poètes. Les étudiants du DUT TC se sont ensuite affrontés dans une négociation en langues allemande, française puis espagnole pour vendre un livre en chocolat. La remise des prix s’est déroulée en présence de Gerhard Küntzle, ambassadeur d’Allemagne. Ce fut l’occasion du tout premier baptême de promotion pour le DUT TC 2017-2018, du nom de l’héroïne du livre des marraines, Cendrine Wolf et Anne Plichotat : « Oksa Pollock ».
Les gagnants du concours Euro-Négo représenteront le DUT TC d’Illkirch aux finales nationales des masters de la négociation des IUT.

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L’Institut de préparation à l’administration générale (Ipag) tête de cordée !

Les élèves de Terminale du lycée Jean-Monnet participant aux Cordées de la réussite ont découvert la Faculté de droit et l'université, épaulés par leurs tuteurs étudiants.

L’Ipag participe au programme des Cordées de la réussite depuis 2008. Celui-ci a pour vocation d’inciter des lycéens issus de milieux défavorisés à s’orienter vers des études supérieures. Cette année, 41 étudiants encadrent 49 lycéens de Terminale, dans le cadre d'un programme de tutorat mis en place avec le lycée Jean-Monnet.

L’équipe Cordées s’est mobilisée le 13 décembre pour organiser une visite du campus central de l’Université de Strasbourg. Celle-ci a débuté par l’allocution de Jeanne-Marie Tuffery-Andrieu, doyen de la Faculté de droit, qui s’est exprimée sur les filières proposées et sur les attendus de recrutement pour Parcoursup. Les lycéens ont ensuite assisté aux interventions de Nicolas Gsell, responsable de la division Vie de l’étudiant du Crous et Grégory Brun, chargé d'orientation et d'insertion professionnelle à Espace avenir.
Les lycéens ont aussi pu découvrir différents lieux importants de l’université : le Patio, les bibliothèques, le Centre sportif universitaire, ainsi que le Palais universitaire.
Pascale Peccavy (responsable du programme Égalité des chances), Neslihan Ilhan (coordinatrice de cette action) et les tuteurs organisateurs se félicitent de l'expérience, qui apporte un soutien pragmatique aux lycéens dans leur orientation vers le supérieur et la construction de leur avenir.

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Réunions institutionnelles : calendrier 2017-2018

 Janvier Février
Conseil académique (CFVU+CR)
14 h - Mardi
 / /
Congrès (CA+CFVU+CR+CTE)
14 h - Mardi
 / /
Conseil d'administration (CA)
14 h - Mardi
 23 /
Commission de la formation et de la vie universitaire (CFVU)
14 h - Mardi
 30 20
Commission de la recherche (CR)
14 h 30 - Mercredi
 / 7
Conférence des directeurs de composantes
14 h 30 - Mardi
 9 6
Conférence des directeurs des unités de recherche
10 h - Vendredi
 / 16
Réunion des responsables administratifs de composantes et des chefs de services centraux
9 h - Lundi
 22 /
Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail
14 h - Lundi
 / /
Comité technique d'établissement (CTE)
 / 8
Conseil académique restreint (CACr)*
 / 16 (9h)
Conseil d'administration restreint (CAr)*
 / /

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